8 mars: la bombe!

Que savez-vous du front de gauche? Rien de bien concret. Les médias à l'unisson taisent son existence. Pourtant son spectre hante les salons des dirigeants politiques de droite, du centre et du parti socialiste.

Le front de gauche est né!
C'est l'alliance politique entre le parti communiste français et le parti de gauche (dirigé par JL.Mélenchon) mise en place pour les élections européennes de juin prochain. Ce front a vocation à s'élargir à d'autres forces de la gauche non socialiste qui s'étaient prononcées contre le traité constitutionnel en juin 2005: anti libéraux, alter mondialistes, alternatifs, communistes unitaires, alter écolos, nouveau parti anticapitaliste (NPA),etc..
Le plus important étant d'ouvrir cet espace à tous les citoyens qui souhaitent changer la politique européenne qui nous conduit au chaos économique et aux tensions internationales aigües. Un appel national est en cours de constitution qui trouvera sa déclinaison dans les départements et les localités. Je vous invite à le signer en masse.

Le 8 mars, tous ensemble au Zénith de Paris!
Ça fera du bruit dans le landerneau. Par milliers, nous ferons exploser le silence médiatique qui nous entoure. Nous lancerons le coup d'envoi de la bataille pour battre la droite en France et en Europe. Il convient de traduire le mécontentement profond sur le plan politique. Les arguments pour y parvenir ne manquent pas. Utilisons-les .

Le NPA d'Olivier Besancenot doit accepter l'union sans conditions!
Personne ne comprendrait l'attitude de renoncement du NPA. Alors que nous sommes d'accord pour condamner l'Europe qui se construit et proposer des solutions sociales qui nous sont communes, la division permettrait à la droite et aux sociaux démocrates de triompher. Ce n'est pas l'intérêt des salariés et des plus exploités.

Olivier, ressaisis-toi, prends ta place dans ce combat unitaire pour l'émancipation.
Que demande le peuple? L'union et le rassemblement.
Pour faire quoi? Une autre politique que celle des banquiers et des grands patrons. Une politique plus sociale, plus juste, plus solidaire.
Cette union peut se réaliser. Elle existe déjà dans les luttes, dans les manifestations, dans les grèves. Concrétisons-la  dans les urnes!